Michelle E.

Bonjour
J’ai pris connaissance de la lettre du maire à propos du projet de 3ème incinérateur.vous nous engagez à donner notre avis, et je suis contre .Pas besoin d ‘en ajouter à tous ces polluants que l’on respire.Même quand on voit l’épandage de cochonneries dans les champs vers la spa, on est loi d’une réduction des pesticides!
J’espère que ce projet ne sera pas concrétise, contrairement à d’autres qu’on réprouve et qui sont quand même menés à terme.!
Cordialement.
M.E.

Nous vous remercions pour votre contribution à la concertation.

Hélène T.

Je suis contre la création de la 3e ligne de four de l’incinérateur.

Nous vous remercions pour votre contribution à la concertation.

Claire M.

Est ce un projet totalement vertueux ? Certainement non.
Maincy et VLP ont déjà payé les frais.
Ce projet ne peut avoir lieu sans avoir toutes les garanties à tous points de vue.

Nous vous remercions pour votre contribution à la concertation.

Romain B.

Bonjour,
Merci de permettre aux habitant·es de pouvoir s’exprimer.
Je découvre cette concertation aujourd’hui seulement et n’ai eu le temps que de parcourir la synthèse.

J’ignore donc les détails sur les volumes traités et à traiter dans un venir ; et si l’ouverture d’une troisième ligne d’incinération est nécessaire.
Je crois cependant savoir que brûler les déchets n’est pas anodin : dégagement de CO2, pollution, gestion des résidus de réaction… le tribut à payer pour le chauffage urbain semble lourd, en particulier dans un contexte d’urgence climatique et alimentaire (notre région est très loin de la résilience alimentaire ; nous sacrifions déjà trop de terres arables en Ile-de-France pour nous permettre d’en risquer d’autres).

C’est sans mentionner les coûts d’un tel projet. La banque européenne d’investissement annonçait récemment qu’il manquait presque 7 milliards d’euros d’investissement pour atteindre les objectifs européens de recyclage. Et l’on parle de recyclage : quid d’une installation moderne avec un circuit de collecte et de traitement des fumées d’incinération ? Sont-ce les mêmes budgets ? Les mêmes ordres de grandeur ?

La problématique devient certainement urgente avec la démographie qui augmente, la crise de l’énergie, etc. Il vaut mieux continuer et intensifier les actions de préventions et de pédagogie que le Smitom organise déjà ; informer en transparence les riverain·es sur les impacts des traitements de déchets et de la potentielle ouverture de cette 3ème ligne (combien ça nous coûtera ? quels sont les risques sur notre santé ?) ; et bien sûr agir pour réduire toujours plus nos déchets – d’ailleurs, l’idée de tiers-lieu est vraiment chouette ! Pensez aux acteurs locaux tels que les repair cafés etc.

Merci.

Nous vous remercions pour votre contribution à la concertation.

Stéphane C.

Bonjour,
dans votre présentation très axée sur le coté économique, vous ne parlez pas de l’évolution de la taxe carbone (qui va se renforcer avec le principe pollueur / payeur ) et donc vous ne l’intégrez pas dans vos chiffres pour la rentabilité de vos scenarii
pourquoi ?

Comme indiqué lors des temps des multiples temps d’échanges, les propositions des opérateurs pour diminuer le bilan des GES et/ou proposer la captation du carbone détermineront la quantité de CO2 rejeté et donc le cout de la taxe carbone qui sera rajoutée aux cout du dossiers (simulation ) appelés aussi à être modifiés en fonction des prix réels. 

Pourquoi la CAMVS ne veut elle pas investir sur des energies décarbonées pour son RCU ?

Avant la concertation, une étude avait identifié la vapeur issue de la valorisation énergétique des déchets comme une source d’énergie renouvelable et de récupération avec un effet Moindre que le tout-gaz en sus de la géothermie  

 

Nous vous remercions pour votre contribution à la concertation.

Vous trouverez les réponses à vos questions ci-dessus. 

Emmanuelle C.

Bonjour,
Merci au SMITOM d’avoir organisé cette concertation préalable, puissent ces débats et réactions toujours hostiles au 3ème four éclairer et orienter les décisions à venir.
Les avancées technologiques de l’incinération ne permettront jamais d’annihiler les rejets gazeux, les mâchefers, les rejets liquides et résidus d’épuration des fumées. Un 3ème four ne ferait qu’accroître le risque encouru par des riverains déjà terriblement éprouvés.
« Chacun a le droit de vivre dans un environnement équilibré et favorable à sa santé » Charte de l’Environnement 2005.
Epargnez-nous svp cette logique technicienne du siècle dernier et abjurez l’idée que le déchet est source de richesse pour notre collectivité. Engagez-vous dans des modèles alternatifs en concentrant vos efforts et actions vers la prévention, la lutte contre le gaspillage, l’encouragement d’une consommation responsable, le réemploi et le recyclage.
Mes questions sont destinées aux décideurs du projet :
Avez-vous tous assisté à ces temps d’échange ? ou du moins étudié avec attention les compte-rendus des réunions et les contributions des citoyens et associations sur le site ?
Toutes les thématiques de ce projet sont abordées dans le livre de E.Fradet, A.Lacout et P.de Rauglaudre « Le Grand Débordement » paru aux éditions « Rue de l’échiquier », puis-je espérer que chacun d’entre vous aura lu cet ouvrage avant de prendre position ?

 

La lecture attentive des contributions et la prise en compte des temps d’échanges constituent le bilan de la concertation qui éclaireront les décideurs 

Nous vous remercions pour votre contribution à la concertation.

 

Véronique R.

Bonjour

Quels sont les risques de contaminations des sols autour de tous ces incinérateurs de déchets? Quel produits toxiques retrouve-t-on aux abords de ces incinérateurs et à plus longue distance?

Des poussières, des métaux lourds, de la dioxine et des furanes, des mâchefers et des REFIOMS 

Quelles impacts sur les végétaux, les animaux que nous pouvons consommer et donc sur notre santé ?

Cf compte-rendu de l’écotoxicologue de l’atelier impact du 23 mars sur le site de la concertation. 

Il me semble important d’étudier toutes ces questions et d’y apporter des réponses argumentées scientifiquement avant d’étendre ces incinérateurs et d’en créer de nouveau.

Merci de votre attention et réponses précises.
Bien cordialement
Véronique R.

 

Nous vous remercions pour votre contribution à la concertation.

Vous trouverez les réponses à vos questions ci-dessus. 

Perrine C.

Pas de combustion supplémentaire !
Pourquoi ne pas adopter la technique utilisée sur le site de Combs la Ville pour séparer les déchets organiques des ordures ménagères ?

Nous vous remercions pour votre contribution à la concertation.

Ariel T.

Pourquoi avoir surnommé votre syndicat mixte « Lombric » ? Le lombric recycle les nutriments, aide à la décomposition, améliore les sols et l’infiltration des eaux, ce qui ne reflète absolument pas votre politique de maximisation de l’incinération. Pourquoi ne pas vous renommer SMITOM Mâchefer ?

LOMBRIC = Les Ordures Ménagères Bien recyclées, Incinérées et Compostées 

Le SMITOM LOMBRIC a en charge une filière complète de traitement des déchets ménagers. Cet acronyme reprend les principales étapes de la hiérarchie des modes de traitement. 

Question aux dirigeants du SMITOM : votre projet augmentant de manière considérable le nombre de rotations quotidienne de camions, et ce projet mettant en avant la forte progression de la population sur l’agglomération comme justification de l’augmentation de la capacité d’incinération, soutenez-vous également, en toute logique, le projet de déviation C5 qui permettra de réduire les nuisances de circulation ainsi engendrées ?

Le SMITOM n’a aucune compétence en matière de gestion routière pour donner un avis sur la déviation C5.  

Seule est analysée la proposition de création d’un carrefour de desserte de son site pour tenir compte des impacts de son site sur le trafic proche du site 

Nous vous remercions pour votre contribution à la concertation.

Vous trouverez les réponses à vos questions ci-contre.

Ariel T.

Contribution jointe pour exprimer mon avis négatif sur le projet du SMITOM.

SMITOM contribution Ariel T.

Nous vous remercions pour votre à la concertation.

 

 

1 2 3 4 5 21