Bonjour,
Quelles garanties concernant la limitation de la pollution pouvez-vous nous apporter ? Concernant les rejets en CO2 qui augmente le réchauffement et concernant les polluants toxiques (dioxinie, furane…) déjà à l’origine d’une interdiction de manger nos oeufs produits en IDF ?
La limitation de la pollution passe par le respect de la réglementation, la surveillance continue des rejets et le bilan mensuel diffusé aux associations-mairies, et le bilan annuel en préfecture, et le contrôle tous les 2 ans de l’accumulation dans les graminées et tous les 5 ans dans le sol.
Concernant le CO2, il est attendue des opérateurs des techniques de limitation et/ou captation de CO2
Ne serait il pas plus intéressant d’utiliser l’argent public pour diminuer les déchets plutôt que de traiter les déchets ? Qu’ils soient triés pour être vraiment réutiliser c’est intéressant mais encore incinérer, on recule.
Le SMITOM comme les associations et les contributeurs de cette concertation, partage qu’il vaut mieux ne pas produire de déchets plutôt que le traiter : aucune loi n’oblige à réemployer, recycler.
La tarification incitative (redevance incitative ou TEOMi) dont le concept est de faire payer l’usager en fonction de la quantité de déchets confiés au service public, est l’action la plus impactante. L’étude de sa mise en œuvre sur le territoire de la CAMVS est en cours.
Nous vous remercions pour votre contribution à la concertation.
Vous trouverez les réponses à vos questions ci-contre.